frenchhope: empreinte environnementale* + 1st_revue* + écologie*

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    https://usbeketrica.com/fr/article/et...evenait-aux-forfaits-internet-limites
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  2. Le temps libéré permet un autre type d’enrichissement par de nombreuses activités que l’on peut effectuer soi-même plutôt que d’acheter un service : cuisiner, faire des travaux dans sa maison, coudre, jardiner, réparer sa voiture ou son vélo, etc.

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    Depuis des décennies, l’opposition idéologique au partage du travail se heurte à une réalité implacable : le nombre d’actifs augmente plus vite que la quantité de travail disponible. Durant la période 1980-1989, le volume total d’heures travaillées était de 38,5 milliards par an, avec une population active de 24,7 millions de personnes. De 2010 à 2019, le nombre d’heures travaillées atteignait 41,9 milliards par an en moyenne, soit une croissance de 7,9 %, tandis que la population active s’élevait à 29,4 millions, soit une croissance de 15,7 % (12). Nous vivons donc dans une société où le travail est très mal réparti. Certains travailleurs cumulent un grand nombre d’heures, tandis que d’autres sont sans emploi.

    Si la réduction du temps de travail peut s’inscrire dans la réponse au dérèglement climatique, il ne s’agit pas d’opposer l’emploi au climat. Bien au contraire ! La transformation de nos sociétés dans le cadre de la transition énergétique permettrait de créer un grand nombre d’emplois. Le scénario de l’association négaWatt pourrait conduire à la création de 630 000 emplois d’ici à 2030, ce que confirment d’autres études (13). À ces emplois devraient s’ajouter ceux liés aux métiers du bien-être, soit un million supplémentaire selon Gadrey (14). Mais, quel que soit le scénario, ce sera insuffisant pour combler le manque actuel. En intégrant les catégories A, B, C (les personnes sans emploi ou en activité réduite et tenues de rechercher un emploi), on compte 5,7 millions de chômeurs en France métropolitaine — et ces chiffres ne tiennent pas compte de tous ceux qui sont éloignés de l’emploi sans être inscrits au chômage. Mieux répartir le travail et la valeur qu’il crée restera donc toujours nécessaire.

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    « Il faut d’une part réduire le temps de travail pour en améliorer le partage et d’autre part modérer la croissance, voire annuler l’augmentation de la production en transférant les gains de productivité non pas sous forme de revenus, mais sous forme de temps libre. Et tout cela est acceptable si on met bien l’accent sur ce qu’on gagne — du temps — par rapport à ce qu’on perd : une consommation qui n’est pas tant que cela synonyme de plaisir et de bonheur. »
    https://www.monde-diplomatique.fr/2021/06/LECOEUVRE/63211
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  3. Malgré les intentions, l’empreinte environnementale de l’entreprise a augmenté avec ses revenus. Pire, souligne-t-il, depuis 2011, la transparence en la matière a même quelque peu régressé. Au final, les efforts des entreprises n’ont pas produit de grandes différences pour les entreprises comme pour la planète.

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    En fait, les interventions à fort effet de levier, celles qui feraient bouger les choses, échappent largement au contrôle des entreprises. Ou alors, elles sont souvent impopulaires, car elles nécessitent de changer les règles régissant le comportement des entreprises. En fait, l’accent mis par les entreprises sur les mesures et les rapports, la croyance selon laquelle un changement basé sur le marché serait suffisant, a probablement contribué à retarder les transformations structurelles indispensables, soutient Pucker. La création de valeur partagée ou l’économie circulaire procèdent des mêmes écueils, explique-t-il encore. Présentées comme des solutions gagnant-gagnant et sans douleurs, elles ont souvent peu d’effets.
    https://www.internetactu.net/a-lire-a...rse-la-mesure-au-detriment-de-limpact
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  4. @NDA: je suis entre 7 et 8 perso.
    https://nosgestesclimat.fr
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  5. Le problème, c’est que la plupart des gens veulent des réponses faciles à cette question. Malheureusement, il n’y en a pas !

    Par exemple, j’ai souvent pensé à devenir végétarien pour des raisons éthiques et environnementales. Mais je n’ai pas envie de manger à la place de la viande du soja ou d’autres aliments importés de l’autre bout du monde, du fait des émissions carbone générées pour les acheminer.

    Et si nous devons reconnaître le dilemme éthique que représente le fait de manger des animaux, qu’en est-il des animaux du sol ? Pourquoi écraser, trancher et découper en dés des mini-bêtes dans les exploitations agricoles est acceptable, mais pas lorsqu’il s’agit de grosses bêtes ? Si je suis cette logique jusqu’au bout, dois-je devenir un « fruitarien », qui ne mange que des fruits bio cultivés près de chez lui ?

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    On peut, par exemple, défendre que l’agneau néo-zélandais consommé en France a moins d’impact sur l’environnement que l’agneau produit localement. La production d’agneau néo-zélandais implique moins d’intrants « riches » en carbone tels que les engrais. Il existe également un système de transport très efficace en Nouvelle-Zélande, qui repose sur des fermes plus grandes et des camions plus gros. Il permet de produire et de transporter plus de viande avec moins de terre et moins d’émissions. Il en résulte une réduction des gaz à effet de serre par kilogramme de viande.

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    C’est alors le moment de cultiver ce que les Danois appellent « l’hygge », un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers. En créant par exemple une ambiance conviviale et chaleureuse à base de ragoûts, de soupes et de bouillons réconfortants.

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    Combien de personnes font en effet des bocaux avec leur surplus de fruits et légumes ? Consommer des aliments locaux de saison en grande quantité tout au long de l’année implique de restructurer les systèmes de production alimentaire et les chaînes d’approvisionnement traditionnelles.

    Celles-ci ont été mises à mal par la concentration de l’offre alimentaire entre les mains de quelques acteurs. L’hiver met à l’épreuve notre capacité à préserver les richesses de l’été et de l’automne, et le printemps nous soulage avec ses artichauts, pommes de terre nouvelles, rhubarbe, roquette, oseille et épinards. Puis le cycle recommence.

    Encore une fois, s’approvisionner de façon réellement durable n’est pas un jeu d’enfant. Il faut pour cela faire revivre les connaissances et les processus culturels que les supermarchés nous ont fait oublier. Mais les avantages d’un approvisionnement alimentaire local et saisonnier sont grands pour la nature et notre santé. Renouer avec la terre et ses rythmes saisonniers fait du bien à tous.
    https://theconversation.com/une-alime...e-tout-depend-de-la-ou-jhabite-153330
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